Le mythe à l’épreuve de la science
C’est Bertrand Du Gesclin, commandant en chef des armées de Charles V, qui aurait découvert la source à son retour des campagnes d’Espagne à la fin du xive siècle : son cheval qui souffrait d’eczéma aurait plongé dans l’eau et en serait ressorti définitivement guéri. Une légende qui devait bien comporter un fond de vérité puisqu’en 1897, la station thermale, édifiée quelques décennies plus tôt par Napoléon, est déclarée d’utilité publique.
C’est seulement bien des années plus tard, que ce mythe d’une eau naturellement prodigieuse s’est vu progressivement confirmé par la science moderne. Grâce à ses propriétés immuno-modulatrices (c’est-à-dire capables d’agir sur le système immunitaire), elle a en effet la capacité d’inhiber les médiateurs de l’inflammation et garantit un effet apaisant immédiat. Elle est également la seule eau thermale au monde à bénéficier d’une telle concentration naturelle de Sélénium, qui lui confère des qualités anti-oxydantes sans égales, idéales pour lutter contre le vieillissement cutané et le stress oxydatif.